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Cypher - Les Ultimes Marches de l'Empereur #1 - Alkpote/GIMS.mp3

Cypher - Les Ultimes Marches de l'Empereur #1 - Alkpote/GIMS.mp3
[00:00.000] 作词 : Alkpote/...
[00:00.000] 作词 : Alkpote/GIMS
[00:01.000] 作曲 : Young Bouba
[00:06.070]Young Bouba got the sauce
[00:09.580]Toujours pareil, c'est l'même refrain, dans l'vent comme Raffarin
[00:12.960]Si l'tit-pe sort, qu'il n'a pas d'référence, c'est sûr qu'il refera
[00:15.310]Magie noire, des génies du mal qui font la morale
[00:17.880]C'est honorable tout en t'sectionnant l'artère fémorale
[00:20.550]Pas d'erreur, j'arrive en m'renseignant, j'arrive en enseignant
[00:23.160]En constatant que ça s'partage l'Afrique tout en mangeant saignant
[00:25.780]Il est minuit, ça toque à la porte, vu qu'j'ai pas confiance
[00:28.330]Je me lève, puis j'me réfugie dans le creux d'un glock
[00:30.890]Isolé comme un complotiste au cœur du cyclone
[00:33.420]J'prends racine en espérant voir l'clin d'œil du cyclope
[00:36.020]Si t'es là sans aucun pesos, on t'envoie dans les roses
[00:38.620]Ils cesseront quand le Dieu Sauron s'posera sur Soros
[00:41.190]Tu m'as trahi, j'ai pas riposté, c'était pas d'la peur
[00:43.730]Ce jour-là, j'avais le cerveau à la place du cœur
[00:46.370]Guette c'qu'ils ont fait d'moi, un ninja déserteur
[00:48.800]Acceptant de vivre dans l'erreur comme Cypher
[00:51.520]Montre-moi du coin l'oeil celui qui s'enterre seul
[00:54.000]Géopolitique : conflit Theodor Herzl
[00:56.430]Passe la douane, y a pas d'vérif', périphérique vers l'Ferry
[00:59.190]J'arrive comme un crack ou les doigts d'Thanos sur Blackberry
[01:01.900]Ambiance monotone, cocktail Molotov
[01:03.450]J'me lève aux aurores, j'suis au summum
[01:05.220]J'nique le protocole et mes homologues, c'est l'Irak
[01:07.680]Bordeaux, Mérignac
[01:08.720]J'braque comme Mesrine Jacques
[01:09.880]Mes rimes claquent et te butent comme le préfet Érignac (poh, poh, poh, poh)
[01:12.070]J'suis comme Cypher, j'envoie mes enfants sur ton eye-liner
[01:14.700]Ghost Rider, j'suis comme MacGyver avec Alzheimer
[01:17.240]Philanthrope, j'ai des rimes en stock et du shit dans l'froc
[01:19.840]Le fric, j'enrobe, au cœur du Marais, ça d'vient pire qu'Bangkok
[01:22.620]J'arrive chelou comme un : "C'est comment ?" ou comme ces colons
[01:25.100]Pire encore, comme cette ménagère qui retire ses collants
[01:27.630]Nœud coulant, ça m'met la corde au cou, tout en déconnant
[01:30.220]Gims est mort, demande à l'empereur, au fond, tu sais que non
[01:32.790]On est immortels, avec Maître Gims, j'mérite le prix Nobel
[01:35.210]Dans l'pire hôtel, même la raie d'mon cul sent la citronnelle
[01:37.980]Inoubliable, je fume du frozen couleur mloukhiya, j'vais tout pillav, j'fais t'faire une Rokia
[01:42.150]J'ai l'oeil de Rocky 3, je souris pas
[01:43.890]Oui, le jour viendra où ta pute souffrira
[01:45.710]Tu m'oublieras comme François Mitterrand ou Habib Bourguiba
[01:48.490]Qui l'eut cru ? J'ai encore du jus et même du surplus
[01:51.040]Qu'des trucs lugubres, j'suis perché comme si j'étais sur une grue
[01:53.520]La Haine de Vinz, j'recharge le fusil à lunette, je tire
[01:55.750]J'vois net le vice, ils veulent convoiter ce que l'aigle vise
[01:58.520]Wesh Maitre Gims, je dois profiter avant qu's'referme le livre
[02:01.060]Je reste vif, Alkpote : le loup dans la bergerie
[02:03.720]J'me pète le bide, regarde dans mon assiette, y a des écrevisses
[02:06.360]Une paire d'cerises et pour couronner l'tout, j'porte de belles chemises
[02:09.010]Un maximum, je les baise même avec la bite molle
[02:11.670]Ils s'abricotent, faut que je pèse comme les Abitbol
[02:14.250]C'est exact, y a du sang d'mes ennemis sur mes Air Max
[02:16.810]Mes belles sappes, j'suis en extase, je m'envole vers Sfax
[02:19.380]Évidemment que je n'ai aucun équivalent
[02:21.620]Médicament dans l'sang, j'assure comme l'équipe allemande (pute)
[02:24.640]C’est drôle, je sais que ce steak n’existe pas,
[02:31.090]je sais que lorsque je le mets dans ma bouche,
[02:34.430]c'est la Matrice qui dit à mon esprit que ce steak est saignant et délicieux
[02:41.620]Au bout de neuf ans, vous savez ce que j’ai compris ? Les ignorants sont bénis !
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